Bien + qu’une pratique … un courant ! avec pour chef d’orchestre Claire GARIN
Le qoya ? Encore un nouveau nom étrange ? Un nouveau mix de Yoga après le Nidra ? L’ appel d’une nouvelle danse endiablée et chamanique ?
Oui messieurs dames, j’irais même jusqu’à avancer que le Qoya est un courant. Claire, auteure de « Sage, sauvage et libre » également créatrice d’un deuxième ouvrage sur l’activisme sacré est une personnalité de Feu. ! Humoriste à ses heures, elle tricote autour d’elle une dynamique sociale, que dis-je nationale et à la fois très authentique. Les gens qui se forment au Qoya à ses côtés sont en quête d’un nouvel outil plus instinctif qui vient donner la part belle au corps pour prendre des décisions et faire des choix de vie, parfois d’entrepreneur. Ses propositions sont en aussi en ligne, nomades mais aussi dans de très beaux lieux au goût sûr … etc…. J’ai joué 3 fois à participer au session Qoya, à chaque fois j’ai pu apprécier une chorégraphie par session comme le bal de chaussettes ou une farandole récréative ou une danse shaking des cellules … à chaque fois on côtoie » la danse de l’ombre » pour naviguer dans une contrée inconnue et visiter un futur proche le temps d’un morceau bien choisi. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est qu’on danse avec le niveau d’énergie disponible il n’y a rien à réussir, ni performer ! C’est un vrai outil d’introspection générateur de bonnes ondes ! On repart toujours avec une carte comme béquille de la pensée et ancrage du moment présent. J’ai eu l’occasion de danser enceinte sur un des ateliers, ça m’a beaucoup touchée et connectée à mon renardeau en cours de création autour du 5 ème mois.
Ce que j’apprécie dans cette pratique ?
-Les playlist toujours très bien construites par Claire pointe d’humour, pep’s, sens esthétique… tout y est pour laver ses états d’âmes hebdomadaires sur le tapis !
-La construction de ses séances qui paraît à la fois simple, bon enfant mais qui nous assure une belle traversée à l’intérieur de nous-même ! Les thématiques du mois sont d’ailleurs choisies en phase avec les lunes, le calendrier, l’environnement ou contexte du moment.
-Le lieu, Villa Nymphéa ou ma safe place préférée pour s’adonner à ce genre d’activité !
-Le fait de sacraliser le moment avec des courts temps d’échanges/paroles par 2 permet de mettre des mots sur ce qu’on ressent en début et fin de pratique. Sans tomber non plus dans la formule » cercle de femmes » ! D’ailleurs j’ai toujours dansé avec quelques hommes dans le groupe sur mes sessions Qoya et c’est là que j’aime ne plus ressentir aucune polarisation, ni masculin, ni féminin, juste des essences qui dansent, en joie !
Si je devais définir la pratique du QOYA en 3 mots je dirais : Pétillant, Cathartique & Solidaire. A rembourser par la sécurité sociale de tout urgence !
Si vous souhaitez en savoir + sur les actualités de ce réjouissant mouvement je vous invite suivre Claire par ici https://www.instagram.com/mystic_funky/ ainsi qu’à écouter son podcast engagé « Prêtresse en Short » https://clairegarin.com/podcast/
En savoir + sur la formatrice Qoya , go visiter son site https://clairegarin.com/mon-parcours/
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